Dès l’ouverture du 4e Symposium Clorid’Art le vendredi 29 août dans le gymnase de l’école de Cloridorme du secteur l’Estran, en Gaspésie, les visiteurs se sont présentés pour rencontrer les 19 exposants artistes présents avec leurs œuvres.
L’un des co-organisateurs de l’événement, l’artiste-peintre Marc Alain Marticotte, estime à environ 150 le nombre de personnes qui sont passées visiter et apprécier l’événement durant les trois jours jusqu’au dimanche 31 août. Les exposants proposaient une variété de disciplines d’art visuel qui ont su plaire aux visiteurs venus d’un peu partout en Gaspésie et d’ailleurs au Québec.

Le vernissage du samedi en fin d’après-midi fut l’occasion pour les artistes et certains des commanditaires de l’événement d’échanger et de partager dans une atmosphère conviviale et sympathique. Les gens, autant les artistes que les visiteurs, ont semblé apprécier le nouveau site que les organisateurs ont choisi pour sa tenue cette année. Cela d’ailleurs permis d’augmenter à 19 le nombre d’artistes, comparé à 8 en 2024.

Clorid’Art a été une fois de plus fidèle à l’engagement de départ de ses deux initiateurs, les artistes-peintres Daniel Lévesque et Marc Alain Marticotte : permettre à des artiste visuels reconnus ou émergents locaux ou d’ailleurs au Québec de faire valoir leurs talents et de partager leurs expériences.


Le succès remporté en 2025 satisfait les organisateurs et laisse déjà présager le retour d’une nouvelle édition l’an prochain. Ils souhaitent remercier leurs commanditaires, partenaires et supporteurs pour leur confiance cette année encore. Les Guides GQ sont fier d’avoir été parmi ceux-ci et félicitent l'équipe de Clorid'Art 2025.
Le 23 août, à l’occasion de la toute première « Fierté » aux Îles, plus de 400 personnes issues de la communauté LGBT+ et alliées se sont réunies à l’Anse-aux-Baleiniers pour célébrer la diversité sexuelle et de genre. L’événement était organisé par le comité LGBTQ+ des Iles et chapeautées par le programme Aire ouverte ainsi que le Carrefour jeunesse-emploi local.
L’atmosphère était à la fête et à la fierté au rendez-vous à l’occasion de cette première célébration des fiertés dans l’archipel. Plus d’une quinzaine d’artistes, artisanes et artisans, commerces et organismes étaient sur place pour accueillir et divertir la foule nombreuse et colorée, sur les musiques de DJ Beausir, DJ Le Spiz et DJ Mémé avec la collaboration de La Plage électronique.
Présent à l’événement, le député des Iles Joel Arseneau a appelé à la vigilance dans le contexte international actuel : ‘’Au-delà de la fête, nous devons plus que jamais faire preuve de vigilance et réitérer les valeurs de respect, d’équité et d’inclusion qui nous animent, ici au Québec, en matière d’orientation sexuelle ou d’identité de genre. C’est aussi le cas aux Îles-de-la-Madeleine, a-t-il déclaré. Face à la montée de l’intolérance, au sud de la frontière notamment, il faut rappeler que le Québec est une société distincte, ouverte et pacifique, qui a été et doit demeurer à l’avant-garde dans la défense des droits des personnes LGBTQ+. Je salue et félicite les organisateurs de l’événement’’.

Les organisateurs bénévoles se sont félicités du succès de ce premier événement de fierté et ont donné rendez-vous pour l’année prochaine.
‘’En ces temps un peu troubles où la montée des discours haineux se fait entendre, il fait bon de se rappeler que la communauté LGBTQ+ est valide, forte, unie et là pour rester, ont-ils souligné. Un événement comme celui-ci, ça nécessite des dizaines de bénévoles, plusieurs mois de travail et des heures qu'on a arrêté de compter depuis longtemps. À toutes les personnes impliquées de près ou de loin dans la tenue de cet événement très significatif pour la communauté LGBTQ+ des Iles, on vous dit MERCI !!!
Photos Alphiya Joncas
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A few kms from Saint-Sauveur, the small town of Sainte-Adèle stretches along 120² km on both sides of Rivière du Nord, in the heart of the legendary Pays d’En-haut. Claude-Henri Grignon had set his cult classic novel Un homme et son péché here, bringing fame to the village throughout French Canada. The story unfolds right before the arrival of Curé Labelle’s legendary P’tit Train du Nord, which finally linked Sainte-Adèle to Montréal in 1891. This was just before the region started welcoming skiers and tourists, which since have become the main economic engine of the city.
Sainte-Adèle owes its name to its founder, Augustin-Norbert Morin, a lawyer, journalist and politician. He founded the newspaper La Minerve, became the leader of the Parti Patriote, and later deputy of the Parti Rouge. In 1855, he named the new village in honour of his wife, Adèle Raymond. As the Prime Minister of Lower Canada from 1851 to 1855, we owe this reformer the social abolition of the seigneurie inherited by the French Monarchy in 1854. He also contributed to the foundations of Morin-Heights and Val-Morin, a few years before the arrival of Curé Labelle.
Only 64 km away north of Montréal, Sainte-Adèle has since become a renowned and unique crossroads for lodging accommodations and fine dining. In 2013, the cultural life here was stimulated by the opening of Place des citoyens, presenting exhibitions, shows, musical concerts and conferences. This performing arts venue offers an extensive, year-round program. In the heart of Claude-Henri Grignon park, the Place des Citoyens also hosts the Marché public de Sainte-Adèle in the summer. For the past 65 years, Pine Cinema has been an institution in Québec, giving an important place to independent cinema. Lastly, the art galleries and museums complete the cultural visits in Sainte-Adèle.

But Sainte-Adèle is first and foremost a place to enjoy the outdoors, reputed for its magnificent Lac Rond, a real gem located in the heart of town, as well as its impressive hiking trails and bike path circuit, its equestrian and golf centres, its snowmobile tracks as well as 3 ski resorts.
In 1991, 100 years after its arrival in Sainte-Adèle, the layout of the P’tit Train du Nord train tracks gave way to the longest linear park in Canada, with a 230 km bike path linking Montréal to Mont-Laurier up in Hautes-Laurentides. The project was inaugurated in 1996, more than 25 years ago.
L’équipe d’animation et les administrateurs de l’organisme LGBT+ Fierté Baie-des-Chaleurs prépare une journée colorée, inclusive et festive afin de célébrer la diversité LGBTQ+ dans la région gaspésienne avec le Festival de la Fierté Baie-des-Chaleurs, le samedi 6 septembre sous le thème « Ensemble, faisons rayonner nos couleurs et nos voix! »

Tout le monde est invité : membres de la communauté, leurs alliés.es, familles, amis.es, jeunes, aînés, etc. Au programme :
- 13 h - Activité familiale à la plage Le Marigot de Caplan - La Ruche d’Art sera sur place pour créer une œuvre collective avec les participant·e·s. Il y aura aussi un kiosque de tatouages temporaires, un autre pour fabriquer des épinglettes personnalisées, ainsi qu’une station de décoration de voitures pour le défilé !
- 16 h - Convoi arc-en-ciel de Caplan à Carleton-sur-mer en voitures, motos et autres véhicules
- 17 h - 5@7 au Pub St-Joseph du Riôtel de Carleton-sur-mer
- 20 h - En soirée, spectacle Royalement Drag avec Rita Baga et ses invitées, au Riôtel de Carleton-sur-mer (Billets 10 $), suivie de DJ Noiz pour la danse.

Le comité organisateur souhaite une forte participation de la communauté lors de cette journée. « Plus nous serons nombreux·ses, plus notre voix collective sera forte », assure-t-on.
Billets du show drag (10$) en vente ICI (aussi à la porte)
Pour plus d'information

courriel : [email protected]
téléphone : (581) 886-5428
A graduate of l’École de danse du Québec in 1989, Harold Rhéaume first worked with Danse Partout (Québec) before joining the ranks of the prestigious Dance Lab Group in Ottawa. Under the guidance of Peter Boneham, he began exploring the fundamentals of dance performance and choreographic creation. He settled in Montréal in 1993 and rapidly gained recognition. In 1997, La Presse newspaper said that "…when he dances, Harold Rhéaume radiates such intensity that he seems larger than life, …he is among those who dance to say things and move you." Like Robert Lepage, Rhéaume returned to Québec city, founding his company Le fils d’Adrien danse (his father’s name) in Saint-Roch, which was at the time transforming into a culturally vibrant neighborhood.
With his humanism as well as his interest in clarity of intent, Harold Rhéaume distinguishes himself from other formal and conceptual trends. His pieces are inventive and refined without ever being pretentious. Inspired by day to day life, Rhéaume works from instinct and spontaneity and has a wide spectrum of influences including musicals, theater, painting, modern architecture, jazz and contemporary music. He also distinguishes himself in having his dancers be part of the creative process. Their personalities and personal experiences, and even their limits, are of much importance in shaping the shows.
Openly homosexual, the choreographer responds with humor when a journalist asks him if all contemporary dancers are gay : "That is wholly exaggerated. I’d say 90%!"
In addition to the choreographic work with his own company, Harold Rhéaume has worked with Cirque du Soleil and contributed to theater, cinema and opera. He is a teacher of physical expression at the Conservatoire d’art dramatique de Québec, as well as choreographic creation at l’École de danse de Québec and l’École de danse contemporaine de Montréal.
Glenn Crawford was the instigator of the Build Our Bank and LGBT Village initiatives in the famously reserved capital since starting the volunteer-run project in 2007. While he has recently stepped down as president of The Village, making room for new ideas from successor Ian Capstick, Crawford has left an indelible mark on a town where there wasn’t a lot of consensus about creating a gay village.
Born out of town hall meetings about the reconstruction of Bank Street, the idea of designating the stretch between Wellington and Gladstone as The Village was about “trying to get a sense of belonging and place, where people feel they can be themselves, have access to services, fool around and shop,” Crawford says. “Gradually a lot of LGBTQ organizations have coalesced into this area… Forming The Village was a natural progression.” When he started fundraising and participating in public advisory committees five years ago, Crawford came up against both the veiled homophobia of a local business improvement association, as well as criticism from the LGBT community that the project was coming 10-20 years too late.
“People were asking Why do we want to create a ghetto? A lot of that criticism comes from people who are out [of the closet],” Glenn says with his typical incisiveness, “from people who have the relationship, two dogs and friend circle. I don’t need a Village either! It’s for people who are struggling in suburban or rural areas; it can be for everyone.” And as a child of the sleepy, inaccessible suburb of Kanata – “not an easy place to grow up gay” – Crawford speaks from experience. Like most LGBT people in any Village in any major city anywhere, the urban geographic bubble exists as much for townies as it does for people who have moved there to escape the stifling places they come from.
And lest you think that Crawford’s project was for commercial reasons alone, it may seem counterintuitive that he’s not a shop-keeper himself, but rather a website and graphic designer who lives just off Bank and works part time in a local gallery. “There’s a social aspect to it. Taking pride in who you are and finding a sense of value in there being a community,” which for him includes keeping the subsidized housing in the area, and watching out for condo development that could “force out the funkier elements.”
“It’s [about] putting roots down; people say it’s 20 years too late, but for me it’s just in time,” Glenn concludes. Echoing a theme that has emerged in everything from architecture to sociology, he adds that “The online world is not the same as having a real community. I worry about that, about younger generations, they’re not valuing the sense of community.”
So maybe when you walk by the “We Demand” mural that The Village commissioned on Gladstone and Bank Streets, you might get a sense of what that community looks like and is for, and clap your fairy hands for Glenn Crawford.
Photo by Noreen Fagan
Séjourner aux Îles de la Madeleine, c’est davantage qu’une escale exotique au milieu du Golfe Saint-Laurent. Tous les intervenants du milieu redoublent d’efforts pour assurer que les visiteurs, autant les nouveaux que ceux qui y reviennent, profitent totalement de leur séjour. Depuis quelques années, la destination des Îles est de plus en plus populaire et les besoins en hébergement sont en forte croissance.
Cela a stimulé deux entrepreneurs qui ont à cœur le développement intelligent et cohérent de l’offre d’hébergement indépendant aux Îles, avec l’engagement et la contribution des commerçants locaux pour compléter l’expérience. C'est dans cet esprit que Maison Mer est né et a développé son offre. L’archipel abrite des adresses aussi inspirantes qu’élégantes et l’on doit s’assurer que chaque détail est pensé pour faire d’un séjour une véritable parenthèse enchantée.
Les initiateurs de ce concept original, le couple Vincent Morel et Jan-Nicolas Vanderveken, sont eux-mêmes les propriétaires de l’hôtel-boutique juché dans les hauteurs de Bassin, sur l’Île du Havre-Aubert, le Petit hôtel de la montagne. Ils sont tombés en amour avec les îles dès leur premier contact. « Nous sommes atterris aux Îles en 2016, et nos cœurs ne sont jamais vraiment repartis. À travers les voyages, les livres et les musées, on s'inspire pour créer des hébergements qui allient design contemporain, raffinement et vie maritime », explique Jan-Nicolas, ajoutant que Vincent venait aux Îles avec ses parents durant sa jeunesse.
Vincent et Jan-Nicolas dans le confort de leur demeure
Depuis leur arrivée, ils ont réalisé deux premiers projets d’hébergement avant celui du Petit hôtel : Les Rochers, une maison d’architecte au design unique, et la Blanche de l'Ouest, une grande maison typique des Îles totalement rénovée, également proposées par Maison Mer.
Pour élargir leur passion, ils se sont associés à d’autres propriétaires d’hébergements similaires pour créer une offre de qualité hôtelière dans le confort d'une maison privée. On y propose une sélection de maisons à louer et d'hôtels aux Îles, où le confort d'une maison rencontre l'élégance des services hôteliers.

Les maisons et hébergements de la collection Maison Mer ne sont pas choisis au hasard; être membre de la collection est un véritable gage de qualité pour les propriétaires de ces lieux uniques, chacun trié sur le volet, pour garantir non seulement du charme et du confort, mais aussi un standard de service et de satisfaction.
Les appellations de chaque lieu, leur location et la description qu’on en fait, contribuent à allumer des étoiles dans les yeux et à fabriquer les rêves des voyageurs qui les consultent. Hôtels-boutiques, maisons d’architectes, résidences typiques, maisons d’exception, il y en a pour tous les goûts et pour tous les besoins et ce, un peu partout sur l’archipel, mais toutes avantageusement situées près des rives, des plages ou de panoramas imprenables.

Trop longtemps dans l’industrie, on a associé le prix à la qualité, mais Jan Nicolas explique avoir découvert que ce n’est pas toujours vrai! « Ce n’est pas parce qu’on paie cher qu’on a automatiquement droit à de la qualité — et c’est précisément pour ça que Maison Mer existe: pour aider les voyageurs à trouver, en toute confiance, les meilleures adresses où vivre pleinement la magie de l’archipel, sans déception ou pépins de vacances ».
Un « petit hôtel » qui en mène large
Installé dans un ancien magasin général, le Petit hôtel de la Montagne domine le paysage et se présente comme un lieu qui se distingue de bien des façons. Il propose quatre chambres de grand confort, chacune pourvue d'une salle de bain privée. L’endroit respire le design recherché et le bon goût dans tous les racoins. L'accès au bâtiment ainsi qu'à chaque chambre se fait en libre-service, grâce à des serrures munies de codes individuels.

De plus, on peut profiter des superbes espaces communs, comprenant au rez-de-chaussée une buanderie et une vaste terrasse. À l'étage, une cuisine ouverte, un salon bibliothèque, et une salle à manger sont à la disposition des clients, créant ainsi un espace idéal pour effectuer du télétravail durant la journée.
Doté d'une terrasse avec vue imprenable, le Petit hôtel de la Montagne propose gratuitement une connexion Wi-Fi dans l'ensemble de ses locaux et un stationnement privé.

Les chambres ont été pensées pour offrir un haut niveau de confort et de raffinement. Les planchers radiants, le contrôle de chauffage et de climatisation individuel et la literie haut de gamme sont quelques détails qui rendront votre séjour exceptionnel. Pour les petites familles, en plus d’offrir des chambres familiales à deux lits, on met à leur disposition un parc pliant, un siège d'appoint et de la vaisselle pour enfants.
En façade, on a accès à un café, boutique et galerie d’art, Maison Papier, qui apporte un cachet original à ces lieux excentrés du circuit touristique principal. Avec sa propriétaire, Maude Jomphe, le couple Vincent et Jan-Nicolas préparent pour 2026, un ambitieux projet d’aménagement d’une partie du sous-sol en une galerie d’art et un espace multifonctions permettant de créer un pôle culturel original. On souhaite y accueillir des artistes en exposition, y tenir également des réunions ou événements d’affaires, lancements et conférences de presses, 5 à 7 corporatifs, et en faire un lieu de rencontres populaire et recherché.

Collection Maison Mer
maisonmer.ca
438 230-3200

Petit hôtel de la Montagne
petithoteldelamontagne.com
2979, ch. de la Montagne
Bassin
Îles de la Madeleine (Québec) G4T 0A4
438 816-9977
Après avoir travaillé pendant six ans à l'atelier-boutique À marée basse, la photographe et designer graphique Maude Jomphe a décidé en 2022 de se lancer dans l'aventure de Maison Papier, à la fois boutique, galerie et lieu d'événement. Sa motivation : favoriser la découverte d'artistes madelinots aux visiteurs tout en rendant leur art davantage accessible et abordable.
Passionnée par le design, les arts, et les Iles de la Madeleine, sa terre-territoire d'accueil depuis plus de 15 ans, elle souhaite faire rayonner le talent des artistes d'ici. « Je souhaite les faire rayonner davantage, afin de permettre à un plus large public de découvrir les artistes, de tisser des liens sensibles avec leur démarche et de pouvoir s’entourer d’œuvres qui inspirent et embellissent le quotidien », explique-t-elle alors que Maison Papier a fêté ses trois ans en juin dernier.

À voir toutes les œuvres qui garnissent murs et étagères de ce local lumineux qui siège au rez-de-chaussée du PetIt hôtel de la montagne, sur les hauteurs de Bassin, sur l'île du Havre-Aubert, son appel a été entendu. Cette maman de jumelles qui se retrouvait sans travail et sans projet précis en février 2022 a suivi son inspiration en visitant cet espace vide : elle a eu un coup de cœur et a entrepris de créer son entreprise avec le soutien et l’encouragement des propriétaires des lieux, Vincent et Jan-Nicolas.
La galerie-boutique M A I S O N P A P I E R présente entre autres le travail d’artistes en arts visuels des Îles de la Madeleine sous forme de reproductions imprimées sur papier. Chaque œuvre sélectionnée est photographiée, retouchée, puis imprimée avec des encres à pigments sur un papier au fini lisse et mat. Le résultat se traduit par une reproduction fidèle et vibrante des couleurs, et un rendu tout en finesse des détails et subtilités de l'œuvre originale. On y trouve aussi des cadres et des objets choisis réalisés par des artisans des îles. On peut également s’y assoir pour déguster un café devant la large vitrine au fond du local ou sur la terrasse arrière avec vue imprenable sur le barachois.

Fait intéressant et original, parmi les étapes qui constituent la structure de Maison Papier, une s'avère particulièrement précieuse. On propose la visite de l'atelier de l'artiste, cet antre sacré, intime et rempli d'énergie créative.
Il importe aussi de mentionner l’idée commune de Maude Jomphe et de ses propriétaires qui préparent pour 2026, un ambitieux projet d’aménagement d’une partie du sous-sol en une galerie d’art et un espace multifonctions permettant de créer un pôle culturel original. On souhaite y accueillir des artistes en exposition, y tenir également des réunions ou événements d’affaires, lancements et conférences de presses, 5 à 7 corporatifs, et en faire un lieu de rencontres populaire et recherché.
On vérifie les horaires de Maison Papier qui reste ouvert toute l'année sur sa page Facebook. Une visite qui vaut le « petit détour » en ce lieu excentré du parcours touristique principal des Îles, mais sait gagner les cœurs et fasciner les yeux.

Maison Papier
maisonpapier.ca
2979 Chemin de la Montagne
Bassin, QC G4T 0A4
(418) 937-4279
Encore cette année, pendant la troisième semaine d'août, la communauté LGBTQ+ d’Ottawa et de partout en Ontario et d’ailleurs au Canada est invitée à prendre part aux diverses célébrations dans les parcs, les rues, les clubs et d'autres sites de la ville, dans le cadre de Fierté dans la Capitale.
Depuis le 16 août et ce jusqu’au dimanche 24, les points forts de la Fierté dans la Capitale sont les événements sportifs, la fête de l'arc-en-ciel, le pique-nique familial et le défilé de la Fierté, qui sont toujours très populaires. Une douzaine d'événements signature et plus de 50 événements communautaires, dont beaucoup sont gratuits, sont au programme en 2025!

La fin de semaine du festival, l'intersection des rues Bank et Somerset Ouest, le centre du village gai d'Ottawa, devient un centre de divertissement avec de la musique en direct, une foire communautaire et une brasserie en plein air. Le festival Fierté sur Bank est plus grand que jamais, s’étendant sur 14 blocs de ville sur Bank Street, de Gladstone à Laurier, et réunissant des groupes communautaires locaux, des artisans et des entreprises. Profitez des terrasses prolongées des restaurants et des bars, ainsi que des camions-restaurants.

Le Défilé de la Fierté est de retour avec la communauté criant sa Fierté, haut et fort ! Avec plus de 200 groupes, plus de 10 000 marcheurs, ainsi que le présidence d’honneur et le groupe d’honneur de cette année qui conduiront le défilé, le dimanche 24 août dès 13 heures. Le départ a lieu au coin des rues Elgin et Laurier, pour se terminer au coin des rues Kent et Albert.
En soirée dimanche, de 18h à 20h, le populaire T-Dance se tiendra au site de la Scène Principale TD • rue Bank et rue Slater.
Fait à signaler, Jeunesse Idem de Gatineau, au Québec, tenait sa Semaine de la fierté en Outaouais du 15 au 24 août avec des activités s’adressant aux jeunes en particulier. Le tout se termine avec la participation au défilé à Ottawa le dimanche après-midi.

Fierté dans la Capitale
capitalpride.ca
613-680-3033
La Fierté prend vie cette année avec Jeunesse Idem à Gatineau. Créé en 1995, l’organisme Jeunesse Idem vise à améliorer la qualité de vie des jeunes de 7 à 35 ans gais, lesbiennes, bisexuel.LEs, trans et en questionnement ainsi que de sensibiliser la population de la région de l'Outaouais face aux réalités de la diversité des orientations sexuelles et des identités de genre.

Pendant 10 jours en août, on offrira une programmation haute en couleurs, en inclusion et en célébration des communautés LGBTQ+.
Quelques détails pour donner un aperçu de ce qui attend les participants.es :
- Le vendredi 15 août : Cérémonie de lever du drapeau, de 10h00 à 11h00 à la Maison du Citoyen.
- Le samedi 16 août : Beach Party Ado, de 11h00 à 17h00 au Parc Moussette (Gratuit avec option payante)
- Le dimanche 17 août : Lecture de conte par une Drag queen, 10h30 à 11h45 à la Bibliothèque Donalda-Charron). C’est gratuit et pour les familles.

En semaine, le mardi 19 août : Soirée projection du film C.R.A.Z.Y en collaboration avec Ciné Jonction, de 19h45 à 22h00 à Place Laval. Activité gratuite offerte aux 13 ans et plus.
- Le mercredi 20 août : Soirée disco silencieuse de 17h00 à 21h00, gratuit pour tous, à Bibliothèque et archives Canada, au 625 Boul. du Carrefour, Gatineau
- Le jeudi 21 août : Soirée bingo musical au Minotaure animée par Rita Baga en collaboration avec BRAS Outaouais et l'As des jeux, de 18h00 à 21h00, Activité payante, pour 18 ans et plus, au 3 rue Kent, Gatineau
- Le vendredi 22 août : Activité familiale et show de drag de 16h00 à 23h00, gratuit, à Place Laval
Le dimanche 24 août : Défilé de la fierté à Ottawa de 10h00 à 16h00, départ devant l'hôtel de ville. Toit le monde est invité à participer.
À chacune des activités, on accueillera les participants et on animera les lieux de diverses façons. Pour plus de détails, on consulte le site web de Jeunesse Idem ou sa page Facebook.